Friday, 21 March 2014

La Carte Postale

 



Cette semaine-ci, puisque nous étudiions le réputé Tintin et son erronée créateur Georges Prosper Remi (plus connu comme Hergé), j’ai décidé à discuter cette carte postale de célébration qui consiste de tous les caractères essentiels de la bande dessinée.  


D’abord, voici une carte postale d’anniversaire qui remonte aux années 1940. Je ne pourrais pas trouver la date de création exacte, car elle n’était pas une carte exceptionnelle ; si l’on vivait dans l’ère, on aurait vu assez de ces cartes. Elle n’est certainement humoristique, et elle conforme avec l’histoire de Tintin ; les bons avec les cadeaux heureux, les mauvais avec les cadeaux de malchance. Nous pouvons lire la marque au verso, qui affirme « Imprimerie Casterman, Tournai ». Alors, c’est une carte belge. Car le message est écrit en français, on peut supposer que la carte était imprimée pour un pays francophone, probablement européen. Je dis européen parce qu’elle est en couleur, et l’avènement du tirage photocrome n’a commencé qu’en 1939 aux pays développés. 


Si nous considérons le fait que cette carte postale était crée pour fêter l’anniversaire de quelqu’un, nous pouvons mieux comprendre le contexte social du jour. Le message n’est pas urgent, mais il est conçu pour amuser, pour divertir. Evidement ce n’est pas une carte d’une famille ni un individuel pauvre, car elle n’est pas une nécessité. J’aime à penser que c’est une carte qui était envoyé à un soldat pour l’égayer, et que son amante a noté sa message de meilleurs vœux et de désir ardent….


« Mon cher amant,


Tu me manque avant tout. Mes meilleures pensées avec vous sur votre anniversaire. Milou te donne le fer à cheval chanceux. J’espère que tu n’en as pas besoin. Tu es mon homme fort et courageux.


Toutes mes bises, Valérie.


Daté 3 mars 1943 »

Thursday, 13 March 2014

Guide de Melbourne





Il y a 2ans, ma sœur et moi se sont déménagées de la maison de famille d’un petit appartement á Brunswick l’Ouest.  Ainsi, je vous donner le tour d’une rue célébré á Brunswick ; la Rue Sydney. Voici une rue très mixte, avec plusieurs types de magasins qui traversent le monde et nous fournissent des plats, des vêtements et des cafés, bars et pubs de toutes cultures.



                   http://www.lonelyplanet.com/australia/travel-tips-and- 
                                     articles/69837- pris mars 2014.

La Rue Sydney est vaguement divisée en zones ; les alimentaires, les cafés et les magasins qui vendent les vêtements et les choses concernant la culture des jeunes. Les bars et les pubs sont disséminés partout. En haut, en direction de Coburg, on trouvera mon épicerie préféré. Une entreprise familiale, les caissiers nous appellent ‘les deux sœurs’.  Il n’y a rien plus de trois dollars par kilo, et tout est fraîche. 
 
Si l’on continue vers le sud, divers lieux connus bordent la rue. On trouvera Les Armes Cornouaillais, qui offre la musique rock n roll et blues et la pizza délice, juste en face d’un resto thaïlandais qui s’appelle Tom Phat et qui est assez fameux. 



                       http://www.venuestar.com.au/venue/611/ - pris mars 2014.


Comme  nous arrivons á la fin de la tournée, il faut choisir un exemple des plaisirs de la mode de la Rue Sydney. Je veux vous introduire á Lieu Sparta. Une collection de magasins indépendants, juste à côté de la rue principale, j’aime bien l’ambiance et la variété qui peut être trouvé ici. Kitty Rose Couture vend la tenue rockabilly, qui j’adore, et le magasin Sauvegardez-Vous s’approvisionne les bibelots et les vêtements organiques. Très cool.



                   http://www.designcourt.com.au/blog/ - pris mars 2014.



Bon, la rue Sydney, vous en avez !


Saturday, 8 March 2014

Portrait d'un Voyageur




Les premiers voyageurs commençaient à naviguer le monde pour des raisons telles que travail, du commerce et de la découverte.  Ces jours, nous pouvons voyager pour étudier, pour le plaisir, et pour certains, souvent sans choix, ils émigrent à la hâte. Le virement des personnes autour du monde établit une société globale, où nous partageons constamment nos cultures, nos habitudes et nos expériences. 


Quand j’avais dix-huit ans, je suis montée dans un avion à destination de Francfort. Départ le 23 décembre, je suis arrivée la veille de Noël après trente heures dans l’air, accueilli chaleureusement, malgré le temps.  Les douze mois avant, j’avais prévu mon itinéraire européen avec l’allégresse. Quels pays, quels villes, quels sites, quels amis ? Quand je considère les portraits des voyageurs qui me décrire, je m’associe la plus avec le touriste, l’assimilé, l’impressioniste et l’exote. Le voyage me donne l’opportunité de vivre comme un autre, de manger comme un autre, de parler comme un autre.  Je voyage pour avoir les expériences nouvelles et différentes de ceux en Australie. Rarement on me trouver dans un Macdo ou mangeant les Vitabrits en Suisse, car je n’ai pas besoin de me transporter autour le planete pour cela. J’aime bien loger avec les gens du coin, pour m’immerger à la vie locale. 

 Voici une image des fjords en Norvège. Délices !



                                                            pris par moi, 2009



Mais aux même temps, je pense encore comme moi. Pendant que j’écris ce blog, je m’assis au lit dans un hôtel à Adelaide, pendant Le Fringe. Ces jours, je voyage pour le travail, effectuant dans des festivales d’arts comme j’ai la chance. Je me trouve comparer constamment notre Melbourne contre l’Adelaide (pouvez-vous estimer celle qui gagne !?) C’est facile à comparer les expériences de ceux qui sont familiers. 


Voici une image de la troupe et moi (centre) avec le duo EastEnd Cabaret dans le festival Fringe.