Les premiers voyageurs commençaient à naviguer le monde pour des raisons telles que travail, du commerce et de la découverte. Ces jours, nous pouvons voyager pour étudier, pour le plaisir, et pour certains, souvent sans choix, ils émigrent à la hâte. Le virement des personnes autour du monde établit une société globale, où nous partageons constamment nos cultures, nos habitudes et nos expériences.
Quand j’avais dix-huit ans, je suis montée dans un avion à destination de Francfort. Départ le 23 décembre, je suis arrivée la veille de Noël après trente heures dans l’air, accueilli chaleureusement, malgré le temps. Les douze mois avant, j’avais prévu mon itinéraire européen avec l’allégresse. Quels pays, quels villes, quels sites, quels amis ? Quand je considère les portraits des voyageurs qui me décrire, je m’associe la plus avec le touriste, l’assimilé, l’impressioniste et l’exote. Le voyage me donne l’opportunité de vivre comme un autre, de manger comme un autre, de parler comme un autre. Je voyage pour avoir les expériences nouvelles et différentes de ceux en Australie. Rarement on me trouver dans un Macdo ou mangeant les Vitabrits en Suisse, car je n’ai pas besoin de me transporter autour le planete pour cela. J’aime bien loger avec les gens du coin, pour m’immerger à la vie locale.
Voici une image des fjords en Norvège. Délices !
Mais aux même temps, je pense encore comme moi. Pendant que j’écris ce blog, je m’assis au lit dans un hôtel à Adelaide, pendant Le Fringe. Ces jours, je voyage pour le travail, effectuant dans des festivales d’arts comme j’ai la chance. Je me trouve comparer constamment notre Melbourne contre l’Adelaide (pouvez-vous estimer celle qui gagne !?) C’est facile à comparer les expériences de ceux qui sont familiers.
Voici une image de la troupe et moi (centre) avec le duo EastEnd Cabaret dans le festival Fringe.
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